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Quand dix ans deviennent une étreinte

Dix ans nous ont séparés, mais il a suffi d’un après-midi sur l’île de Luanda pour que le temps cède à l’amour. De ses mots jaillissent mémoire, tendresse et soleil — un dimanche transformé en poème, où la saudade est devenue présence, et l’enfance, poésie.

CONTESPROSE

6/3/20252 min temps de lecture

Evânia Pedro Gonçalves

Par un dimanche éclatant, un jour si spécial,
Je suis sortie avec mon frère — un lien essentiel.

Dix ans se sont enfuis, le temps éloigné,
Mais le revoir soudain, quel cœur bouleversé.

Les mots nous manquaient, l’émotion trop forte,
Un câlin sincère, l’amour qui nous emporte.

Des rires, des échanges, des idées partagées,
Et la joie du moment fit l’âme s’illuminer.

Dimanche de Soleil et de Saudade

Par l’Île nous avons marché, Luanda scintillait,
Des décors, des souvenirs — tout nous émerveillait.

La brise sur le visage, le soleil en guide,
Un jour de lumière, que rien ne dissipe.

Rempli d’émotion, de chaleur et d’histoires,
La vie s’écrit ainsi, de tendres mémoires.

Et ce dimanche, je le garde avec tendresse —
Dans l’âme, le cœur, en douce allégresse.

Quelles sont vos impressions ?
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-Didier BOSSÉ

Échos des Lecteurs

C’est comme si M. Muhongo m’invitait dans son pays, si lointain.
Les seuls mots que je connais sur cette terre me sont parvenus à travers une chanson de Bernard Lavilliers

C’est comme si M. Muhongo m’invitait dans son pays, si lointain.
Les seuls mots que je connais sur cette terre me sont parvenus à travers une chanson de Bernard Lavilliers :

« Je connais qu’un seul endroit
Mais c’est pas fréquentable
Où l’on joue ce blues-là
Aussi noir que le sable…
Mona mona muene
Kissueia ueza
Mona mona muene
Kalunga n’gumba… »

Merci pour ce voyage par les mots.
Bonne journée,
André