an abstract photo of a curved building with a blue sky in the background

Rien de plus que ce que l’on voit

Evânia Pedro Gonçalves

Dans les yeux, le monde est un miroir peu profond,
Il reflète l’extérieur, cache le sang profond.

On juge le tout par une simple apparence,
Sans voir l’abîme derrière l’essence.

On admire la fleur, mais qui voit l’épine ?
Le rire séduit, mais le chemin s’incline.

Derrière l’assurance, peut se cacher la peur,
Sous l’éclat du luxe, un vieux secret demeure.

Et la vie poursuit, dans l’empressement sans foi,
Avec des yeux qui voient, mais pas ce qu’il y a.

Car il y a bien plus dans l’être que la peau ne révèle,
Un monde invisible qui hurle et se rebelle.

Quelles sont vos impressions ?
a shadow of a window on a wall
white robot wallpaper
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-Didier BOSSÉ

Échos des Lecteurs

C’est comme si M. Muhongo m’invitait dans son pays, si lointain.
Les seuls mots que je connais sur cette terre me sont parvenus à travers une chanson de Bernard Lavilliers

C’est comme si M. Muhongo m’invitait dans son pays, si lointain.
Les seuls mots que je connais sur cette terre me sont parvenus à travers une chanson de Bernard Lavilliers :

« Je connais qu’un seul endroit
Mais c’est pas fréquentable
Où l’on joue ce blues-là
Aussi noir que le sable…
Mona mona muene
Kissueia ueza
Mona mona muene
Kalunga n’gumba… »

Merci pour ce voyage par les mots.
Bonne journée,
André